On croirait nager dans les cenotes du Mexique. L'eau est tropicalement chaude. Bleu topaze.
Les 2 lacs de cette île communiquent par une étroite bande de terre qui est
tranchée par une passe empierrée.
Le jeu - très amusant - consiste à se jeter dans le grand lac (le plus froid) et se laisser entraîner par le courant vers le plus chaud.
Mieux qu'Aquaparc! Enfants et adultes hurlent et rient. On s'éclate comme des bouchons.
Nous visitons le monastère bénédictin construit sur une île. Une île sur une île!
Les moines savaient choisir leur villégiature.
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puis nous passons à d'autres vieille pierres, plus célèbres.
et les attractions qui vont avec! Malgré la foule, cette cité médiévale est si exceptionelle que nous adorons.
Nous aimons les "konoba" (auberges) mais aussi
les cafés oú Luc fait un boeuf avec un groupe de jazz.
La patine lustrée des pavés dans la lumière du soir.
Le port antique
et les fontaines. Uniques sources d'eau de la ville pendant la guerre contre les serbes il y a 20 ans.
J'aime beaucoup l'énorme fontaine Onofrio encore plus belle que celle de Stokholm.
La fontaine du restaurant "dame-pipi"est plus étrange, dans le genre anatomique.
Une sculpture - moderne celle-là - m'inspire... un repos bien mérité.
On se pose la question tant le tourisme est envahissant, mais oui, une "vraie" vie existe aussi en vieille ville.
Ici et là quelques rappels du bombardement serbe, crime de lèse-patrimoine historique.
Un dernier tour avant de partir?
Difficile de quitter les ruelles oú vivent les 10.000 habitants.
Actuellement engorgées par les fournées de 2 à 4000 touristes que chaque paquebot relâche!
Allons, il est temps de remonter à bord de l'Azimut. 28 passagers. 5 hommes d'équipage. Parfait pour nous.

